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22-08-2024 06:56:52 - Actualisé: 22 August, 2024
Dans un tournant inattendu et alarmant, le gouvernement italien a décidé d’interdire le cannabis light, un produit qui, jusqu’à présent, avait trouvé son créneau sur le marché grâce à ses faibles niveaux de THC et ses usages industriels et thérapeutiques. Cette mesure, incluse dans le récent “ddl Sicurezza“, assimile le cannabis light à d’autres substances stupéfiantes, interdisant sa culture, sa vente et sa distribution. Pour les consommateurs réguliers et ceux qui apprécient ses bienfaits thérapeutiques, cette nouvelle est non seulement déconcertante mais profondément frustrante.
🏁 Un coup au cœur du secteur
L’industrie du cannabis light en Italie n’est pas n’importe quel secteur ; c’est un domaine dynamique qui génère environ 150 millions d’euros par an et fournit des emplois à des milliers de personnes. Des agriculteurs aux CBD Shop spécialisées, beaucoup ont été frappés par cette décision. “Nous nous sentons trahis”, déclare Mario, un cultivateur de chanvre qui a consacré des années à perfectionner sa production de cannabis light. “Nous avons suivi toutes les règles, investi dans la durabilité et l’innovation, et maintenant on nous retire le sol sous les pieds”.
🏆 La défense du gouvernement et la réponse de la communauté
Le gouvernement, dirigé par la majorité de droite, défend la mesure comme une protection pour les jeunes contre l’usage de drogues. Cependant, pour beaucoup, c’est simplement un mouvement politique qui ne prend pas en compte la réalité des consommateurs ni la science derrière les produits de cannabis light. “C’est ridicule”, commente Ana, une utilisatrice régulière de produits de CBD pour soulager la douleur chronique. “Le cannabis light m’a aidé de manières qu’aucun autre médicament n’a pu le faire. Cette interdiction pousse seulement les gens à chercher des alternatives sur le marché noir, où il n’y a pas de contrôle de qualité ni de sécurité“.
🎲 Un avenir incertain
Avec cette interdiction, plus de 11 000 personnes pourraient perdre leur emploi, et environ 3 000 entreprises agricoles pourraient être contraintes de fermer. Mais la bataille ne s’arrête pas là. Des manifestations sont déjà en cours d’organisation et le secteur prévoit de recourir à des actions légales. L’association Coldiretti, qui représente de nombreux agriculteurs touchés, a qualifié la décision de “coup dur pour l’innovation et la durabilité”.
Pendant ce temps, les consommateurs, dont beaucoup ont trouvé dans le cannabis light une alternative sûre et légale pour leur bien-être, se sentent abandonnés et sans options. “Ce n’est pas seulement une plante, c’est un mode de vie pour beaucoup d’entre nous“, conclut Luca, un autre consommateur régulier. “Nous ne nous rendrons pas sans nous battre”.
⏰ Conclusions et avis de Pevgrow
Le débat est loin d’être terminé. La communauté des consommateurs et des défenseurs du cannabis light continue de se mobiliser, exigeant une révision de cette loi controversée. À un moment où d’autres pays avancent vers une réglementation plus inclusive et sensée du cannabis, l’Italie semble reculer. Mais comme nous le savons bien, la passion et la conviction peuvent déplacer des montagnes. Il est incroyable que des milliers de personnes qui ont lutté pendant tant d’années pour obtenir des droits se retrouvent maintenant à devoir les défendre.
Le gouvernement de Meloni semblait défendre les droits des Italiens, mais il prouve de plus en plus qu’il est aussi globaliste que les autres membres de l’UE. Cette interdiction sera-t-elle le début de la fin pour le cannabis light en Italie ? Seul le temps le dira, mais une chose est sûre : la communauté est plus unie que jamais et prête à se battre pour ses droits. Que pensez-vous de cette nouvelle ? Vous indigne-t-elle autant que moi ? Merci de nous donner votre avis dans les commentaires.
Je suis complètement choqué par cette nouvelle ! En tant que consommateur régulier de fleurs de CBD, je n’aurais jamais pensé qu’il y avait un si grand risque qu’elles soient interdites dans d’autres pays. Je crains que cela ne s’étende à l’Espagne et que mes options soient limitées. Le CBD a été une partie importante de mon bien-être et je ne peux pas imaginer devoir y renoncer. J’espère que les autorités reconsidéreront la situation et que nous pourrons continuer à profiter de ses bienfaits sans crainte.