En lutte constante pour la régulation du cannabis, principalement dans le domaine médical.
14-07-2017 15:00:25 - Actualisé: 14 July, 2017
Le fait que les ravageurs soient de plus en plus résistants aux produits chimiques et la demande plus croissante de la société pour les produits végétaux qui n’ont pas été traités avec ces derniers, ont stimulé l’utilisation de techniques de contrôle biologique.
Tous ces produits de contrôle biologique ont été développés pour potentialiser les cultures de forme naturelle sous les normes écologiques de qualité, étant celle de la marijuana l’une d’entre elles.
Techniques pour prendre soin de vos plantes
Aujourd’hui, nous expliquons 7 techniques pour prendre soin de vos plantes efficacement
Le dicton dit: la prévention est meilleure que le regret. Et c’est précisément ce que chaque personne qui s’engage dans l’auto-culture du cannabis devrait prendre très en compte au moment de cultiver.
Bien qu’il soit vrai qu’il existe des agents extérieurs contre lesquels nous ne pouvons pas nous battre selon les types de cultures, éviter la plupart d’entre eux peut dépendre de nous, bien que pas toujours facile.
Je fait référence aux désagréables ravageurs. Ceux qui, en plus de pouvoir finir avec une excellente culture de cannabis, peuvent aussi finir avec votre patience et votre illusion, en plus de réduire votre poche, bien sûr. Et oui, bien sûr, heureusement nous avons les pesticides! Ou pas? Et … ami … l’histoire a changé! Et beaucoup! Ces insectes désagréables deviennent plus intelligents et ils semblent connaître nos intentions ou plutôt les pesticides.
De nombreuses études ont montré que ces petits prédateurs sont de plus en plus résistants aux produits sur le marché, les pesticides. C’est pourquoi ils ne fonctionnent pas toujours, et que fait la plupart des gens quand cela se produit? Versez plus de pesticides! Eh bien, si vous êtes l’un de ceux qui le font! Vous pourriez être en train de vous empoisonner!
[bctt tweet=”Avec la #lutte biologique, je protège plus naturellement mes cultures” username=”PevGrowFR”]
D’accord, c’est un peu trop exagéré, car il faudrait ingérer beaucoup de pesticides pour vous nuire, mais la vérité est que vraiment: vous aussi vous êtes en train de consommer ce pesticide que vous versez dans vos plantes lorsque vous les consommez, donc … pourquoi ne pas opter pour quelque chose de plus naturel et, surtout, plus efficace?
Dans ce cas, précisément, les premiers biologistes qui ont élaboré des techniques de contrôle biologique, c’est-à-dire ceux qui avec le même objectif, finir avec les ravageurs qui envahissent les différents types de cultures (parmi eux, la marijuana), les arbres, les fleurs, fruits et légumes, parviennent à l’atteindre de façon plus naturelle et moins invasive. Comment? En bref, grâce à la contre-attaque d’autres organismes vivants qui empêchent ou réduisent les dommages causés aux cultures par les ravageurs.
Infographie sur les techniques de contrôle biologique
Différences entre l’utilisation de pesticides et les techniques de contrôle biologique
Mais, alors, quelle est la différence entre une technique et une autre? Il en existe plusieurs, mais surtout, les suivantes:
Prévenir et ne pas exterminer: c’est précisément ce qui est réalisé avec la lutte biologique. Nous savons qu’il est pratiquement impossible mettre fin aux fléaux, car tôt ou tard ils apparaîtront à nouveau.
Ainsi est la nature. Cependant, nous pouvons empêcher l’apparition dans nos plantes, si nous agissons au bon moment grâce à la lutte biologique.
Ainsi, les experts recommandent que ce type de pratique soit réalisé dès que nous voyons les premiers envahisseurs. Car derrière un ou deux prédateurs se cachent des centaines d’oeufs, ce qui causera précisément la peste subséquente qui peut tuer notre plante.
Comme nous avons déjà cité, les produits chimiques sont nocifs, même ceux qui sont plus respectueux avec les plantes, de sorte que les techniques de contrôle biologique n’autorisent pas l’utilisation de produits chimiques dans ce type de pratique, bien qu’il y ait des gens qui combinent les deux.
Avec la lutte biologique la fléau n´est pas immunisé: l’un des problèmes de l’utilisation des pesticides est que, au fil du temps, les prédateurs finissent par s’immuniser par rapport au produit, il arrivera doncun moment où ils ne seront plus rentables.
Cependant, dans le cas des techniques de contrôle biologique, fesant partie de la nature, c’est-à-dire ayant un écosystème dans lequel la proie est la bête à battre, elle aura toujours des prédateurs disponibles pour garder le parasite sous contrôle.
C’est précisément à cause de ce dernier point, la raison pour laquelle les cultivateurs de marijuana considèrent que ce type de technique, la biologique, est venu pour y rester. Et c’est que, malgré une technique relativement jeune, ses effets se sont révélés très positifs, gagnant de plus en plus de fans.
Serez-vous le prochain?
Si la réponse est affirmative, tout d’abord, vous devrez tenir compte de certains aspects que nous allons mentionner ci-dessous. Car bien que ce ne soit pas une série de techniques compliquées, il faut dire que:
- Il est nécessaire de contrôler très bien les temps que marque la nature, non seulement en ce qui concerne la croissance de notre plante, mais en particulier sur la forme de vie des envahisseurs et des prédateurs qui vont en finir avec eux.
- Il faut prendre en compte si la culture est à l’intérieur ou à l’extérieur, car, en général, dans les cultures de l’extérieur, les prédateurs viennent naturellement manger les envahisseurs, cependant, dans le cas des cultures intérieures, il est nécessaire introduire nous-mêmes ces organismes vivants. Je vais vous expliquer plus tard où pouvez-vous les obtenir et comment le faire, selon le type de ravageur.
- Vous devez faire une révision de votre méthode de culture, car, de même que les gens ne changent pas du jour au lendemain, votre culture ne le fera pas non plus, ainsi les experts recommandent aller peu à peu en réduisant l´usage de pesticides. Pour céder la place à des techniques non invasives, en plus, bien entendu, pour incorporer les techniques de contrôle biologique mentionnées. Certaines techniques qui vous feront faire de petites modifications, mais … tout est pour le bien de vos plantes!
- Une dernière chose concernant les lignes directrices que vous devez prendre en compte, est l’utilisation de techniques antérieures telles que l’élimination des organes infectés de la plante et le lavage à l’eau sous pression, de sorte que les prédateurs qui ne sont pas trop attachés à la plante puissent tomber par la force de l’eau. Sil s´agit d’une culture intérieure, il sera également important de contrôler le climat, c’est-à-dire qu’il faudra en trouver un qui ne nuise pas notre plante, mais qui réduise au minimum les possibilités que les envahisseurs se reproduisent.
Maintenant que vous connaissez tous ces aspects, que pensez-vous si nous commençons avec les techniques à effectuer? Allons-y!?
Techniques de contrôle biologique disponibles
Il est clair que la lutte biologique est celle qui va faire face aux ravageurs des cultures introduisant d’autres êtres vivants qui mangent les envahisseurs, la liste est généralement divisée en trois types: les parasites, les entomopathogènes et enfin les prédateurs.
Chacun d’eux, bien sûr, est plus optimum que d’autres quand il s’agit de lutter contre un organisme nuisible particulier:
1-Parasites:
Également connus sous le nom de parasitoïdes, la principale caractéristique de ce type d’insectes (au moins dans la plupart des cas sont des insectes) est qu’ils déposent leurs oeufs dans le corps des organismes que nous voulons éliminer de notre culture.
Ce type de technique fonctionne généralement très bien dans les cultures intérieures, car il s’agit d’un environnement plus limité pour le contrôle de l’organisme nuisible, de sorte que les parasites parcourent la culture d’un côté à l’autre pour chercher des êtres où déposer leurs oeufs et se reproduire, en particulier le ravageur que nous voulons éliminer.
Ce type de parasites est utilisé pour réduire les ravageurs de la mouche blanche, ainsi que les pucerons et les mineurs. Mais précisions un peu plus.
Si vous voulez combattre certains des trois parasites mentionnés, les parasitoïdes que vous devez rechercher dans votre magasin fiable sont:
-Eretmocerus mundus: Le type de parasite plus abondant et celui que vous trouverez le plus dans les serres de l’horticulture. Il lutte contre certaines espèces de mouches blanches, et qui est reconnaissable car sa forme adulte est une petite guêpe de 1 mm de longueur et présente trois taches rouges très typiques, qui la distinguent du reste des parasitoïdes de son espèce.
-Eretmocerus eremicus: Il s´agit d´une autre guêpe parasite, une famille très proche de la précédente, utilisée dans les serres ou les cultures intérieures.
La guêpe adulte sera responsable de parasiter la larve de la mouche blanche.
Chez PEV Grow, vous trouverez Eretmocerus eremicus dans des formats parfaitement adaptés à la culture du cannabis. Notre équipe technique résoudra tout doute que vous pourriez avoir.
-Encarsia formosa: Appartenant à la famille Aphelinidae, les femelles sont noires et d´environ 6 mm et les mâles, très rares, sont aussi noirs et un peu plus longs. Son utilisation date depuis le début du 20ème siècle, bien que depuis quelques années son utilisation ait été professionnalisée et étendue à d’autres domaines, comme celui du cannabis.
2-Entomopathogènes:
Les plus connus sont le Bacillus thuringiensis et les nématodes Steinernema feltiae.
Le Bacillus est une bactérie qui sécrète une toxine qui fait que l’organisme nuisible arrête de se nourrir et donc se reproduire. Il existe de nombreuses sous-espèces de Bacillus thuringiensis, la plus commune étant la variété Kurstakii. Agit contre une multitude de chenilles et de thrips dévorateurs de cannabis.
Dans le cas du nématode, une infestation de larves se produit dans l’organisme nuisible, en se nourrissant de son contenu.
Chez PEV Grow, vous trouverez les deux types de produits, idéaux pour lutter contre les chenilles, les papillons ou les mites, parmi d’autres organismes nuisibles.
3-Predators:
Habituellement, sont des insectes et des acariens qui donnent la chasse et la mort aux êtres vivants qui envahissent notre culture.
Bien que ce ne soit généralement pas l’habituel, l’un des problèmes qui pourraient causer une mauvaise utilisation de ce type d’insecte ou d’acariens est que, en l’absence de nourriture, peuvent manger une partie de la plante.
Les plus connus sont généralement:
-Ambliseius swirskii: Acarien prédateur pour lutter contre la mouche blanche ou les thrips.
-Orius laevigatus: Punaise predator pour certaines espèces de thrips.
Chez PEV Grow, nous proposons Thripor-L.
-Phytoseiulus persimilis: pour le contrôle spécifique des ravageurs d’araignées rouges. De la même marque que le produit précédent, dans ce cas, nous proposons l’utilisation de Spidex.
Dans certains cas, les cultivateurs de cannabis utilisent aussi des entomopathogènes, avec des prédateurs. Si vous envisagez de le faire vous-même, vous devrez tenir compte à l’avance qu’ils ne soient pas incompatibles pour, à la fin en pas donner le résultat attendu.
Lutte biologique contre l’araignée rouge
Ce type de ravageur est l’un des plus communs dans les cultures de marijuana, surtout lorsque le climat est sec et chaud. Il est vraiment dangereux, car cette araignée envahissante suce la sève de la plante, laissant ses feuilles jaunes et l’amenant à mourir lentement, si aucun remède n´est utilisé.
Comment la remarquer? Parce que les feuilles commencent à avoir des points jaunes, signe qu´elle perd la chlorophylle contenue.
Habituellement, comme mentionné ci-dessus, le type de prédateurs utilisé dans ces cas pour contrôler les ravageurs d’araignées rouges est l’acarien Phytoseiulus persimilis. Cet acarien est responsable de manger à la fois les oeufs et les larves, ainsi que les araignées rouges adultes. Et assez vite, ce qui est le meilleur. En fait, il est estimé que l’acarien Phytoseiulus persimilis peut consommer en moyenne 20 oeufs ou larves par jour et environ 5 adultes. Pas mal, n’est-ce pas?
Si c’est votre cas, voilà les produits vous pouvez utiliser: Spidex et Swirskimite.
Lutte biologique contre les thrips
Ce type de petits insectes, avec des ailes ailées, jaunes ou grises et allongées, donne naissance à des larves qui bougent beaucoup et le font très tôt. Quand un thrip envahit une plante de marijuana, il suce les cellules des tissus superficiels, donnant un aspect grisâtre et des points noirs aux feuilles de la plante, qui ne sont que ses croûtes. Vraiment dégoûtant!
Un autre des acariens ou prédateurs qui sont utilisés dans la lutte biologique contre les thrips et les mouches blanches est l’Amblyseius californicus, qui couvre habituellement des œufs pendant 14 jours, capable de manger en moyenne 5 thrips adultes par jour, plus quelques œufs ou larves.
Avec une vie de 20 jours en tant qu’individu adulte, il est généralement utilisé lorsqu’il existe des doutes sur une éventuelle invasion de thrips ou lorsqu’ils ne sont pas faciles à détecter.
Afin d´en finir ou de contrôler ce type de ravageurs, dans le cas du contrôle biologique contre les thrips, est habituellement utilisé l’Amblyseius cucumeris, un type d’acarien prédateur beige qui perfore les thrips et les vide complètement. Ce type de prédateur est également utilisé pour combattre les ravageurs d’araignées rouges.
Les punaises, en particulier la punaise Orius laevigatus, déjà décrit ci-dessus, est un autre des prédateurs des plus voraces contre le ravageur des thrips, surtout si nous voulons finir avec les adultes.
Lutte biologique contre la mouche blanche
Comme l’araignée rouge, la mouche blanche est une autre de ces espèces qui envahissent un grand pourcentage de cultures. Comme dans le cas de l’araignée rouge, les larves et les adultes aspirent la sève de la plante et, ce faisant, libèrent une sorte de mélasse, laissant des taches sur les feuilles et les bourgeons. Bien que pas aussi destructeur que l’araignée rouge, empêche le bon développement de la plante, et il nous empêche d’obtenir un produit final parfaitement propre pour la consommation humaine.
Et que faisons-nous pour l’éviter? Habituellement, est utilisée la guêpe Encarsia Formosa, la libérant dès que nous voyons les premières mouches blanches entourer l’espace cultivé. Cela sera beaucoup plus efficace.
Est une méthode très économique et rentable.
Chez PEV Grow, nous avons le produit Ercal qui contient des femelles et des mâles adultes prêts à dévorer les mouches.
Lutte biologique contre les pucerons
L’un des plus grands problèmes causés par le puceron est que l’invasion de ce type d’insectes se réalise en quelques jours, car ils se reproduisent très rapidement. Donc dans ce cas, plus que dans d´autres, il est essentiel que nous agissions le plus rapidement possible.
En outre, ils sont coupables de laisser des champignons noirs et font également en sorte que la plante de marijuana soit susceptible d´héberger certains virus. Faites attention!
Comment contrôler cette peste? Nous utilisons habituellement le moustique cecidónimo Aphidoletes aphidimyza, qui est chargé de chercher les colonies de pucerons. Ce sont leurs propres larves qui se retrouvent avec les pucerons. Il est estimé que la femelle peut pondre environ 100 œufs dans sa vie fertile, toujours à la recherche de grands nids de pucerons à infester. Par conséquent, est idéal pour la lutte antiparasitaire.
Que proposons-nous? Utilisez Aphidend 2000, qui contient le moustique mentionné ci-dessus.
Sa performance est favorisée si le climat est particulièrement humide et la température de la nuit est d’environ 16 degrés, des conditions dans lesquelles les mâles de ce type de moustique agissent.
Comment savez-vous s’ils ont bien travaillé? Parce que les pucerons qui ont tué les larves seront accrochés aux feuilles, qui auront une couleur brune, pour finalement tomber d’elles.
Lutte biologique contre d’autres insectes nuisibles
En plus de ceux mentionnés, d’autres parasites communs dans les plantes de marijuana, bien que moins fréquents sont:
– Chenilles: bien qu’il y a quelques années, les chenilles étaient fréquentes en été ou en octobre, celles-ci se produisent à tout moment de l’année.
Comment contrôler ces ravageurs? Le Bacillus Thuringiensis est le plus couramment utilisé. Dans ce sens, nous proposons d’utiliser le produit Bacillus Devorator, qui se présente sous la forme d’une poudre dissolvable, de sorte que son utilisation est plus simple. Il ne nuise pas au goût ou à l’arôme de la plante.
-Cochenille: affectent les cultures extérieures et ils le font en suçant la sève de la plante. Ils laissent également de la mélasse sur leur chemin, ce qui facilite l’apparition de champignons pathogènes. Dans ce cas, nous recommandons l’utilisation de Chrysoperla carnea, qui est un insecte qui traite très efficacement les ravageurs des thrips, de la cochenille, de la mouche blanche et des pucerons.
– Mouche du paillis: bien que, a priori, ne devrait pas représenter un danger pour notre plante si elle est saine, ni pour les personnes, la présence de la mouche du sol elle-même peut endommager les boutures et les semis, en plus d’être indicatif d’autres problèmes, tels que l’excés d´arrosage, la prolifération des champignons ou la putréfaction.
Pour lutter contre ce type de ravageurs, nous utilisons habituellement l’acarien Hypoaspis miles, qui est responsable de la consommation de larves de mouches du sol, ainsi que de thrips, entre autres insectes. Il est très actif dans des températures supérieures à 10 degrés.
Également utilisé, le Steinernema feltiae, appartenant à la famille des entomopathogènes, ne provoque aucun effet nocif dans notre plante, mais aide à contrôler ce type d’organisme nuisible. Ils sont très actifs entre 15 et 20 degrés.
Chez PEVGrow, nous recommandons l’utilisation Entonem.
En Résumé
Comme nous l’avons dit au début, mieux vaut prévenir que guérir et maintenant vous savez quelles sont les principaux ravageurs ou les plus courants, ainsi que les méthodes pour contrôler ou tuer ces fléaux de façon biologique par les prédateurs qui anéantissent les envahisseurs.
Bien sûr, avant de le faire, souvenez-vous des 6 étapes suivantes:
- Identifiez le parasite qui affecte la culture.
- Évaluer l’étendue et la phase de l’organisme nuisible.
- Acquérir les prédateurs appropriés qui peuvent le combattre.
- S’assurer que notre prédateur n’est pas incompatible avec d’autres prédateurs de contrôle biologique que nous voulons utiliser dans notre culture.
- Surveillez qu’ils exécutent correctement leur fonction.
Avez-vous appliqué une de ces techniques? Connaissez-vous d’autres qui sont également efficaces?
Nous aimerions avoir de vos nouvelles, allez-y! Laissez-moi un commentaire ci-dessous et je promets de vous répondre 😉
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Par Noelia Jiménez, Équipe de PevGrow